11 avril 2011
Tout contre moi au creux de mon cou.
La lumière qui s’éteint est comme un départ. Une éclaboussure de rêve dont le feu ne s’arrête jamais de grandir. Les yeux fermés sur l’aube de ton sourire, et le crépuscule de ta peau. L’intime sérénité des corps enlacés, la bohême des lettres affranchies....